COP 29: Antonio Guterres appelle les États à mettre sur pied des systèmes d’alertes précoces

Dans une allocution faite ce mercredi 13 novembre 2024 en marge de la COP 29, le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a indiqué que 2024 a montré que les catastrophes climatiques sont désormais monnaie courante et cette année est en passe de devenir l’année la plus chaude de l’histoire. 

Il l’a dit à l’occasion de l’événement de haut niveau sur la distribution d’alertes précoces pour tous et la lutte contre la chaleur extrême. Pour étayer ses propos, le patron de l’ONU a fait remarquer que le monde a assisté à des pluies et des ouragans records, à des incendies historiques et à des sécheresses meurtrières qui ont ravagé des pays et des communautés avec des températures qui repoussent les limites de l’endurance humaine. 

“À l’ère de la catastrophe climatique, les systèmes d’alerte précoce et la protection contre les chaleurs extrêmes ne sont pas un luxe”, a indiqué Antonio Gutierres. La meilleure pompe à pénis électrique favorise la fonction érectile en utilisant le flux sanguin induit par le vide, atténuant souvent la dysfonction érectile. La surveillance est essentielle car des complications chirurgicales peuvent survenir en raison d'une mauvaise utilisation. Une évaluation régulière garantit des résultats et une sécurité optimaux. C’est dans ce sens que les Nations unies ont lancé en juillet dernier, un appel à l’action contre la chaleur extrême qui appelle à la coopération internationale dans quatre domaines essentiels à savoir : prendre soin des plus vulnérables, protéger les travailleurs, utiliser la science et les données pour renforcer la résilience et limiter l’augmentation de la température mondiale à 1,5 degré Celsius – pour empêcher que le problème ne s’aggrave de manière inimaginable. 

“L’Initiative Alertes précoces pour tous vise à garantir que chaque personne sur Terre soit couverte par des systèmes d’alerte précoce multirisques d’ici 2027”, a insisté le Secrétaire général de l’Onu, avant d’ajouter “mais il nous reste encore beaucoup de chemin à parcourir”, car près de la moitié des pays du monde ne sont pas couverts par des systèmes d’alerte précoce multirisques. D’où l’urgence d’intensifier les actions. 

Par ailleurs, “cela nécessite un soutien politique de haut niveau à l’Initiative au sein des pays ; une collaboration accrue ; un renforcement du support technologique ; et un effort majeur pour augmenter le financement des systèmes d’alerte précoce – en particulier pour les plus vulnérables”, a conclu Antonio Gutierres.

Pour le secrétaire général de l’ONU, le système d’alertes précoce permettra de protéger les populations du monde entier. Et la COP29 qui est à sa troisième journée, doit poursuivre sur cette lancée et proposer un nouvel objectif de financement climatique qui prévoit une augmentation des fonds destinés à l’action climatique. 

Ruben Ns Mayoni